La vie est différente pour chaque être humain, mais j’ai perdu cette flamme de vie qui alimente nos désirs. Chose première dans cette univers la vie est un mystère, une société qui veut tout contrôler, un ministère plein de résistances : pas de pitié même au début de mon enfance.

Je ne peux me fier à personne c’est comme ça que mon âme résonne. Je suis à tolérance zéro, cette vie me vole et me survole tous mes mots. Depuis tout petit un plaisir se termine par souffrir ; la vie est un marathon jamais oà ne cesse de courir, j’ai plus à dire qu’à vivre la rue pour tous, mais ma rue ne te donne jamais du lousse depuis mon pays jusqu’à immigrer la rue m’a enchainé. Chien mange chien, voici le refrain peu importe le chemin ne pense pas fuir ton destin une vie de chien, merde j’en ai marre on peut le voir mais refuse de croire que c’est nous les hommes de cette terre le cauchemar d’une vie pleine d’histoires.

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Les souvenirs que j’ai lorsque j’étais jeune c’est quand je faisais des mauvais coups. Pour avoir une voiture, j’ai réussi mais je n’étais pas fier. Maintenant je gagne de l’argent légalement et ma prochaine voiture j’en serai fier.

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Salut,

Je vais vous raconter un de mes plus mauvais souvenirs. Ça à commencer le 11 juillet 2005 pour le mariage de mon père. Il a fallut que je sois fille d’honneur dans le mariage de mon père mais je n’avais pas vraiment envie parce que je sentais que je trahissais ma mère. J’étais pas encore prête d’avoir une belle-mère. En réfléchissant j’ai compris que mon père c’est sa vie, je dois l’accepter. Finalement, j’ai été fille d’honneur. Ça s’est bien passé, un très beau mariage. Après, j’ai expliqué à ma mère que je ne l’ai pas trahi mais que je ne pouvais abandonner mon père de cette façon, c’était son premier mariage, elle m’a comprise malgré qu’elle était triste.

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Je m’en rappelle, durant mon enfance, j’ai eu un fait marquant dans ma vie. À l’âge de 8 ans, j’ai eu une sortie au zoo, le plus grand au Canada ( le Parc Safari). Cette sortie fut un très grand souvenir pour moi dans ma vie. j’ai passé plusieurs semaines à supplier ma mère pour qu’elle puisse payer la sortie. La sortie était prévue à l’automne. Dès que l’automne arriva, je suis parti en autobus voyageur avec mon école. Ce matin-là, ma mère m’avait préparé un lunch et je mangeais des biscuits dans l’autobus en attendant d’arriver au zoo. J’étais nerveux, excité et motivé. Dès mon arrivée, j’ai aperçu des immenses éléphants avec d’énormes trompes. J’étais captivé par eux. Dans le parc, il y avait des manèges et beaucoup d’animaux. J’étais fasciné par les animaux durant la visite du zoo. J’ai rencontré un lama et je lui ai donné à manger, ce fut un moment fort de la sortie.

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Je me souviens d’une journée à la ronde. je me souviens d’une journée passée à la ronde, on s’était levés tôt, ma mère faisait les préparatifs pour la journée. Elle nous a fait, à moi et mon frère, des sandwichs pour qu’on puisse diner là-bas. Il a fallut qu’on attende notre père, qui était en retard, quand il est arrivé ma mère s’est chicanée avec pendant une demi-heure. Quand ils ont fini, on a put partir, on a montré dans la voiture, ma mère a demandé à mon père s’il avait pensé à acheter des jus. Il a dit « non! », alors on a arrêté au IGA. On était enfin prêts à y aller. Le premier manège que je voulais faire c’était les voitures tamponneuses, mon frère voulait faire la toupie mais ma mère nous a obligés d’aller la grande roue. Alors on y est allés après y avoir après y avoir passé 5 minutes la grande roue a bloquée on n’est rester pris pendant 2 heures moi et mon frère on n’a regardé notre mère on lui a dit les manèges qu’on voulait faire et elle s’est choquée si on ne restait pas tranquilles quand on allait descendre on rentre mais chez nous on  n’a pas bronché quand on est descendu. Mon père nous a dit qu’on allait faire un tour d’hélicoptère et on a passé une belle journée.

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Les  mauvais souvenirs que j’ai eus dans ma vie :

Quand j’avais 13 ans et que mes parents voulaient pas que j’aille dans Hochelaga-Maisonneuve, j’y suis allée parce que la plupart de mes ami(e)s habitent dans ce quartier. J’y suis allée même si je n’avais pas le droit et mon père voulait me placer jusqu’à mes 18 ans, mais j’ai dit à mes parents que je ferais du ménage et ils ne m’ont pas placée.

Aussi, je hais ma sœur parce que mes parents lui disaient de se rendre à telle heure et elle ne rentrait pas à cause qu’elle était disparue. Elle est allée jusqu’à Sainte-Sophie. Le lendemain, mon père n’était pas de bonne humeur et il est parti comme une fusée. On était juste moi et ma mère dans la maison et à peu près je sais pas quelle heure, il y a eu à peu près trois chars de police. Ils sont venus chez nous vérifier de quoi et ils nous ont enlevé les arcs, les fusées et après, moi et ma mère, on est allées au poste de police. Les policiers avaient un choix à faire et ils m’ont placée et j’ai pas aimé ça, mais je suis sortie de là la même soirée.

Les bons souvenirs que j’ai eus dans ma vie :

Moi, je suis contente d’avoir changé parce qu’avant, j’étais une fille facile. Toujours, je me laissais faire. Je changeais de gars comme je changeais de culottes et j’étais plus négative que positive. Je volais dans les magasins, mais après, je réalisais que ce n’était pas bien. Et maintenant, je sais dans quoi je m’en vais. Je fais bien ma vie avec un gars qui me respecte. Ça fait six ans que je le connais et j’espère que ça va durer. Et aussi,  depuis que je suis avec, j’ai vraiment beaucoup changé et depuis que je suis des cours de relations humaines, ça m’aide en crime à oublier tout mon négatif et rester positive avec les autres. C’est sûr que j’essaie de changer mon caractère, mais je vais être capable de le changer, mon caractère! Il faut que j’aie confiance en moi.

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Les souvenirs que j’ai lorsque j’étais jeune,  c’est quand je faisais des mauvais coups. Pour avoir une bicyclette, j’allais toujours la voler dans la cour des voisins. Les jours d’Halloween, je passais mon temps à voler les bonbons à tous ceux qui croisaient mon chemin. Par contre, dans ma jeunesse, il y a eu aussi des jours où j’étais bon garçon. Tous les samedis, j’allais à l’église. C’était la seule journée où je restais tranquille.

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Moi, quand j’étais dans mon pays, je faisais la vaisselle et tout à coup, un gros lézard vert est sauté sur moi! J’étais très émue et je criais, hurlais et grattais mon corps dans tous les sens! Mais j’étais heureuse parce que j’aime les petits lézards. Ils m’entouraient de partout quand je vivais aux Îles. Il y a des moments où je pensais que j’avais quelque chose en moi qui attirait les lézards. J’avais un cousin qui n’aimait pas les lézards. Il coupait leur queue parce que ça l’énervait. Je trouvais son geste pas propre du tout. Quand je vais au Biodôme, je suis passionnée par les lézards. Je prends du temps pour les regarder, les admirer pendant plusieurs minutes en me rappelant que quand j’étais petite, ils m’entouraient de bonheur à me regarder.